Aujourd’hui, c’était la grande étape alpestre qui a tenu toutes ses promesses mais je laisse le clavier à Ben pour qu’il nous raconte sa journée:
Salut à tous, gros bisous à nos femmes et nos enfants, et à demain…..
D’après mes pseudo copains, c’est un peu trop succinct donc je vais étayer:
Au lever, chacun avait une tête assez pitoyable, sauf la mienne puisque je ne me suis pas regardé, la palme revenant à Dom qui n’a pas fermé l’oeil de la nuit; Il faut dire que l’on avait la pression ( même si on n’a pas pu en boire une seule à Val d’Isere), et que l’altitude n’est pas propice au repos compensateur……..
Au départ JLUC était d’une humeur très joyeuse, vous savez le genre j’ai fait une connerie, et effectivement, il avait piqué la
roue d’olivier (il faut bien un potache dans un groupe….) mais , c’était bien rigolo.
Après le départ je pense qu’aucun d’entre nous, à part fred mais il est pas humain, pensait arriver au terme de cette étape dantesque ( 150 KM, 3200 mètres de dénivelé positif). Mais première bonne surprise, le soleil est apparu à 300 m du sommet de l’iseran, à l’endroit même ou jluc avait perdu les clés de notre apart en 97, évoquant cette excuse grandiose : « c’est normal, j’avais mis les clés dans la poche qui ferme pas … » Arrivée tranquile au sommet , photos et descente rafraichissante sauf pour olivier qui après 100m a préféré remonter, il ne recule devant rien, et descente en camion.
JJ à l’oeuvre dans l’Iseran
La descente de la maurienne a été pénible car on avait le vent dans le nez et même si on descent, l’effort n’est pas négligeable.
Gros ravitaillement au pied de la station de LA NORMA ou j’ai recontré le papa d’Elliot, avec qui j’ai joué au foot 5 ans à GIVRY, le monde est petit!
Après 3H30 de vélo et 90 km dans les pattes on attaque le télégraphe, et à l’unanimité, on l’a trouvé difficile; régulier à 8% quand même, et surtout très chaud ce qui nous n’était pas encore arrivé!
Le vélo sous le soleil, c’est sympa….
Puis descente sur valoire et et remontée du galibier….Plus de soleil, des congères de 3 mètres pour nous rafraichir a 4°, mais on est tous arrivé en haut.

Olive dans le dernier lacet du Galibier. Finisher !!!
Descente LAUTARET ou l’on a pris 10° d’un coup puis descente peinard à plus de 60 KM/ sur serre che
Mesdames , vos hommes sont fantastiques, et pour fêter celà, on va boire une bière LUC ALPHAND à votre santé!
Ce défi des 40 ans se déroule sans accroc et l’on comprend mieux la citation de CATON:
« Il vaut mieux vieillir vite, pour pouvoir en profiter longtemps »
Vive le sport, vive l’amitié, et vive nos familles!
BEn le calculateur
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